martiensgohome – I really should have seen through the airwaves
The inspiration for this piece came from the idea of treating the radiowaves as a living environment, a complex landscape just waiting to be explored. Applying field-recording methods to the shortwave signals of the radio highlights its various sceneries, and its diverse inhabitants. From radio amateurs to state propaganda, and from entertainers to religious freaks, all types of discourses can be found here competing for attention. Surrounding these voices is an equally fascinating ocean of electronic sounds : magnetic storms, carrier waves, interferences, radio-jamming, hum and buzz. The aether is an infinite synthesizer. The natural tones and human-made noises of the airwaves represent an inexhaustible source of sound material and inspiration.
This piece has been composed with the help of the scordinator, a computer program devised by martiensgohome during a residency in the Q-O2 workspace in 2023. The program generates a graphic score for multiple musicians to follow, suggesting dynamics, entry points and pauses for each performer. Designed for live performance as well as for decision making in the studio, it is both a game and a tool. It reconciles conducting and improvisation insofar as it doesn’t tell the musician what to play, or how, but lets him make creative choices within a timeframe.
martiensgohome is a radio-art collective based in Brussels and has been active on the air since 1996. They operate every week on Radio Campus 92.1 FM where they produce a one hour-long improvised show, using field-recordings, electronics, objects and guitar. They also perform live whenever possible, preferably in special settings, composing site-specific interventions or playing unconventional venues.
Cette jeune bruxelloise débute avec des études en journalisme. Ce qui lui fait découvrir le reportage et la caméra. Elle décide de poursuivre dans cette voie et part à Londres étudier le journalisme vidéo documentaire. Sa carrière professionnelle débute au sein d’un groupe parlementaire européen où elle est engagée en tant que journaliste vidéo. Ensuite, elle décide de se lancer comme free-lance, elle travaille pour des ONG telles que Médecins du monde ainsi que dans le secteur culturel pour des festivals, des expositions ou des concerts. Et puis, pas de chance, le Covid débarque, tout s’arrête et c’est là qu’elle se met à la réalisation de son tout premier vrai documentaire intitulé les Nouvelles Guérillères. Ce documentaire met en lumière les luttes des différents collectifs féministes bruxellois pour qu’il y ait moins de racisme, de sexisme, mais surtout plus d’égalité.
Les Glaneuses est un podcast qui s’immisce au creux de la vie de réalisatrices. À travers leur parcours, leurs souvenirs, leur intimité, nous partons à la découverte de noms de femmes, de combats inspirants, de paroles politiques.
Crédits :
Enregistrement et réalisation : Sarah Semana Montage et mixage : Constance Pasquier Création sonore : Alexia Baltsavias Coordinatrice et productrice : Dimitra Bouras
Les Glaneuses est une production de Cinergie avec l’aide de la Cinémathèque de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de la COCOF,
Dans cet épisode spécial du Radio Campus, on se penche sur la question des images de la crise climatique dans les médias.
Florence, Lina, Justine et Julia, 4 étudiantes du Master en sociologie à l’ULB, ont fouillé dans les journaux et vous présenterons les images qu’elles ont trouvé dans Le Soir et La Libre ainsi que dans deux journaux québécois.
S’ensuivra ensuite leur analyse ainsi qu’une entrevue avec le professeur invité en journalisme, Jean-Jacques Jespers.
Une série audio pour mieux comprendre l’histoire partagée entre la Belgique et le Maroc.
Partez à la découverte de l’immigration marocaine en Belgique, à travers les faits historiques, mais aussi les enjeux linguistiques, culturels et identitaires soulevés par cette histoire commune.
Épisode 6 : L’immigration au féminin Longtemps invisibilisées, les femmes marocaines ont joué un rôle clé dans les combats pour l’égalité et l’émancipation, en Belgique comme au Maroc. Invitées : Fatiha Saïdi (experte en genre et ancienne élue), Hajar Oulad Ben Taib (chercheuse à l’UCLouvain).
Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles (Section Éducation permanente), de la Ville de Bruxelles et du Conseil de la Communauté Marocaine à l’Étranger (CCME).
Des mots mystérieux et incompréhensibles viennent chaque nuit chatouiller le cerveau de Marc. Le matin, ces mots sortent de sa bouche, malgré lui. Sa maman n’en peut plus de ce charabia. A l’école, la langue étrange suscite les moqueries du professeur et des élèves. Marc trouve refuge à la bibliothèque, parmi les atlas. Il confie son rêve et sa langue à la bibliothécaire délurée, Mademoiselle Berlingot, la première qui l’écoute, charmée par ces mots. Marc ne va plus à l’école, sa maman est folle d’inquiétude. Marc confie à Mademoiselle Berlingot que sa vie tourne au cauchemar, il ne veut plus parler, aucune langue. Mademoiselle Berlingot, amoureuse des langues, lui offre son aide. A deux, ils se lancent dans des recherches linguistiques, partout où un voyageur comprendrait la langue mystérieuse. En vain. Les années passent. Mademoiselle Berlingot annonce alors qu’elle part en voyage en bateau avec son amoureux. Marc se sent abandonné. Un an plus tard, Mademoiselle Berlingot l’appelle d’une île perdue dans l’océan pacifique, Rapa. Les 552 habitants y parlent la langue des rêves de Marc ! Elle existe vraiment ! Marc, maintenant instituteur, devient le 553e habitant de Rapa. Une réalisation qui nous parle d’une belle complicité et de l’importance de poursuivre son rêve, quoiqu’il arrive.
Réalisation : Vincent Raoult, Valérie Joyeux, Christian Dalimier
Production : La Cie Les Pieds dans le Vent
Avec l’aide du Fonds d’Aide à la Création Radiophonique et à l’Atelier de Création Sonore et Radiophonique
La fleur et le vent est un documentaire sonore, qui croise en poésie les récits migratoires de femmes récemment arrivées à Marseille. Réalisé à l’issue d’une série d’ateliers sonores dans un foyer maternel d’hébergement à l’été 2023, les femmes qui y témoignent sont toutes jeunes mères. Elles racontent leurs fuites et leurs luttes, les épreuves et désillusions rencontrées sur le chemin. En exil partout, elles luttent pour l’obtention de leurs papiers et la chance d’un nouveau départ pour elles et leurs enfants.
Réalisation : Narimane Baba Aissa Poème : Mbarka Minaoui Mixage : Anaïs Cabandé Visuel : Amine Baba Aissa
Avertissement de contenu : le documentaire aborde des sujets sensibles et témoigne de cas de violences sexistes, physiques et sexuelles qui pourraient raviver des émotions ou des souvenirs traumatisants.
Les générations issues de l’immigration naviguent entre racines marocaines et quotidien belge, avec des questionnements sur la réussite, la transmission et la religion. Invité·e·s : Andrea Rea (professeur de sociologie à l’ULB), Wahiba Yachou (créatrice de contenus et fondatrice de TaQsera).
BELGICA BILADI Une histoire belgo-marocaine
Une série audio pour mieux comprendre l’histoire partagée entre la Belgique et le Maroc.
Partez à la découverte de l’immigration marocaine en Belgique, à travers les faits historiques, mais aussi les enjeux linguistiques, culturels et identitaires soulevés par cette histoire commune.
Le podcast Belgica Biladi : Une histoire belgo-marocaine explore les liens historiques entre la Belgique et le Maroc en s’appuyant sur des témoignages et analyses d’experts. Chaque épisode aborde une facette des enjeux de l’immigration marocaine en Belgique, de l’arrivée des travailleurs marocains aux luttes sociales et culturelles contemporaines.