Que signifie le terme « transgenre » ? Et si on sortait du monde binaire que nous connaissons, monde où l’on ne peut être qu’homme ou femme ?
Invités : Julie De Ganck, historienne et chercheuse à l’ULB et Bo, de l’ASBL Genres pluriels
Cette émission a été réalisée par des étudiantes en Ma2 de journalisme de l’ULB : Joana Stassin, Séverine Valvekens, Amal Azaitraoui et Eva Minder.
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€ « LES DISPOSITIFS DE PROTECTIONS ET APPAREILLAGES DE L¹OREILLE »
€ diffusions: mardi 6 déc de 18h15 à 19h et mercredi 7 déc de 09h à 09h45.
Le nombres de personnes à «appareiller» est relativement stable alors que
les protections de l¹audition en milieux professionnels se sont généralisées
et que les accidents de travail auditifs sont en diminution. C¹est donc
qu¹une nouvelle population est touchée hors des usines et milieux qu¹on sait
bruyants et dangereux. Il s¹agit des jeunes en général et des musiciens en
particulier (amplifications des groupes musicaux, et port généralisé de
casques avec iPods baladeurs).
Les accidents sont souvent le fait de sons puissants, qui peuvent être
brefs, et qui arrivent d¹un coup sans prévenir.
Dans les appareils auditifs, il faut distinguer les prothèses (pour raisons
médicales, après traumatismes) des protections (qui peuvent avoir des
raisons médicales mais pas nécessairement).
Tous ont fait d¹énormes progrès ces dernières années.
Notre «capital auditif» est précieux, ses atteintes irréversibles conduisent
à des surdités partielles, à de l¹hyper-acousie (hypersensibilité où l¹on
supporte moins bien les sons forts), ou à des acouphènes (sifflements
permanents produits par le cerveau en compensation des fréquences pour
lesquelles l¹oreille n¹est plus sensible). On ruse avec les acouphènes en
les «noyant» dans un bruit blanc, qui calme le son compensatoire produit par
le cerveau.
L¹émission passe en revue les différents types de «protections» existants:
des boules Quiès et tampons de mousse aux prothèses adaptées sur mesure aux
conduits auditifs, avec objectivation de l¹atténuation désirée du son.
Appareillages auditifs et protections sur mesure des oreilles
<www.audition-confort.be/contact.php>
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…en rediffusion ce mardi 6 décembre à 09h00
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…en rediffusion ce vendredi 2 décembre à 09h00
Dans le cadre de l’exposition ‘Déportation et génocide, une tragédie européenne’, Paul Sobol est venu témoigner à l’ULB. Ce rescapé d’Auschwitz – il avait 18 ans à l’époque -, témoigne régulièrement depuis une quinzaine d’années devant un public d’adolescents. Son objectif tient évidemment du devoir de mémoire, mais aussi, et peut-être même surtout, de devoir d’espoir. Car le message de Paul Sobol est le suivant: même en ayant tout perdu, on peut reconstruire sa vie. Un témoignage dur, très prenant, dont le son n’est pas d’excellente qualité, mais à écouter absolument. Un programme en deux parties, la suite sera diffusée la semaine prochaine.
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Dans le cadre de la Journée mondiale de lutte contre le SIDA, Aimer à l’ULB organise ce premier décembre une journée de dépistage gratuit du VIH, mais aussi des autres IST. C’est le moment de revenir sur la question du SIDA 30 ans après son apparition.
Avec Laurent Gaissad et Cécile Baldwin de Aimer à l’ULB.
Détails pratiques : dépistage des infections sexuellement transmissibles gratuit et sans rendez-vous, de 9h à 17h à Aimer à l’ULB (38, avenue Jeanne 1050 Bruxelles). Munissez-vous de 2 vignettes mutuelle, de votre carte SIS ou la carte européenne.
Pause musicale (en Creative Commons) :
– Vernon Lenoir – Crane Stance In The Stench Of Gore
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€ « FRAGILITÉS DE L¹OREILLE »
€ avec: Dr. Marie-paule THILL, (ORL), St-Pierre, prof. d¹otologie, ULB
€ diffusions: mardi 29 nov de 18h15 à 19h et mercredi 30 nov de 09h à 09h45.
Les problèmes auditifs sont en forte augmentation chez les jeunes. En cause,
l¹augmentation du volume sonore des concerts, et le port généralisé des
casques baladeurs. Parmi les pathologies: les acouphènes (sifflements
permanents) et hyper-acousie (douleur aux sons de faible volume),
Un mot sur la physiologie du système auditif: lorsque l¹oreille perd sa
sensibilité à certaines fréquences, le cerveau compense ce manque d¹infos
sonores en produisant lui-même cette fréquence, d¹où le son entendu «dans
l¹oreille».
Dans la notion de fatigue de l¹oreille, un facteur important est le temps
d¹exposition permanente.
Question technique: la «compression» sonore! En ramenant tous les volumes de
la musique au même niveau, elle fait disparaître les moments de calme de la
musique; il en résulte une fatigue accrue de l¹oreille, qui ne peut plus
profiter des mini moments de pause acoustique très souvent présents dans une
¦uvre musicale.
Danger!: les atteintes sont faiblement réversibles et les thérapeutiques
actuelles peu efficaces,
Donc: prévoir des pauses d¹audition d¹autant plus longues et fréquentes que
le volume sonore est fort; prévoir des dispositifs de protection (il faut
des bouchons adaptés).
Nous avons un capital auditif à préserver. Cela implique une éducation au
son. Les jeunes ne savent plus «se concentrer». Parmi les causes possibles,
l¹excès de télévision dans l¹enfance, et les nuisances sonores. Nous devons
reconsidérer notre rapport au silence… À ce propos, l’étude de la musique
(classique) est une école de concentration qui favorise les apprentissages
scolaires et universitaires.
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…en rediffusion ce mardi 29 novembre à 09h00
Une simulation à échelle réduite des Nations Unies aura lieu la journée du 3 décembre 2010 dans les locaux de l’Université. De quoi s’agit-il ? D’une simulation des négociations qui se déroulent au sein de l’ONU qui a pour but d’apprendre aux participants l’art de la négociation, de la communication mais aussi de la globalisation et de la diplomatie multilatérale. 3 étudiants en sciences politiques de l’ULB en parlent dans Europolis: Emilie Taton, Alexandra Hofer et Aldo Macia.
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