Posté le 4 octobre 2011 à 10 h 03 min
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Étiquettes : histoire de savoir
« LE PÈRE HENRI BOSMANS, HISTORIEN DES MATHS « BELGES » »
avec: Michel HERMANS, père jésuite, historien, archiviste, responsable du
Fonds Bosmans, FUNDP ;
Paul VAN PRAAG, mathématicien, professeur émérite à l’U Mons ;
Jean MAWHIN, mathématicien, professeur émérite à l’UCL.
diffusions: mardi 4 octobre de 18h15 à 19h et mercredi 5 octobre de 09h à
09h45.
Émission spéciale à l’occasion de la parution du bulletin de la classe des
sciences (un ouvrage de l’Académie Royale de Belgique, à la fois monographie
et Actes de colloques) consacré à un historien des mathématiques méconnu :
le père Henri Bosmans. L’émission aborde sa vie, son oeuvre, les nombreux
ouvrages et documents qu’il a laissés.
Il a contribué à tirer de l’oubli Simon Stevin, et ses travaux mathématiques
qui ont conduit Newton et Leibniz à établir le calcul différentiel &
intégral.
L’approche de Stevin des nombres réels (comme on les écrit aujourd¹hui, avec
une virgule, nombres dits « décimaux ») a eu des effets importants sur le
commerce et l¹enseignement des maths, permettant ainsi un développement
extraordinaire des sciences occidentales.
Stevin a publié cette contribution dans son fameux De Thiende (mot flamand
signifiant « dizième » ou « dizaine »), ouvrage aujourd¹hui célèbre dont un
exemplaire existe au musée Plantin-Moretus à Anvers. Henri Bosmans a sauvé
un autre écrit de Stevin de la destruction et de l’oubli, l’Appendice
algébraique. Celui-ci n’existait plus qu’à un seul exemplaire conservé à la
bibliothèque de Louvain. Le père Henri Bosmans l’a recopié entièrement,
avant sa destruction dans un bombardement de la première Guerre mondiale, le
sauvant ainsi des flammes! Henri Bosmans a aussi exhumé le travail des
précurseurs des géométries non-euclidiennes (Saccheri).
On aborde aussi son travail d’Historien des Jésuites belges partis en Chine,
des précurseurs. Ainsi que sa relation à la Belgique. Un étonnant mélange
d’Histoire, de mathématiques, de politique, d’aventures exotiques et
archivistiques et de joie de vivre.
Posté le 3 octobre 2011 à 10 h 02 min
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Étiquettes : Europolis · histoire de savoir
Radhia Nasraoui est une avocate tunisienne du barreau de Tunis spécialisée dans la défense des droits humains.
Elle est membre de la Ligue tunisienne des droits de l’homme, de l’Association des femmes démocrates, d’Amnesty international Tunisie, de l’Organisation mondiale contre la torture (OMCT). Elle crée en 2003 l’Association de lutte contre la torture en Tunisie (ALTT) qui regroupe des militants des droits de l’homme, des avocats et des universitaires. En 2005, elle reçoit le titre de Docteur honoris causa de l’ULB. Elle était invitée à la première séance des Débats de l’ULB intitulé « Révolutions arabes, vrai ou fol espoir?
Posté le 28 septembre 2011 à 16 h 46 min
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Étiquettes : femmes · histoire de savoir · sciences humaines
En ce début d’année académique, les événements autour des femmes se succèdent et ne se ressemblent pas. L’Ulb participe à ce mouvement entre autre à travers les Rencontres Internationales Femmes et Santé (RIFS, qui se sont déroulées dans la salle Dupréel sur le campus du Solbosch) et le festival de cinéma Elles Tournent (auquel Muriel Andrin, professeure à l’ULB en ELICIT mais aussi chercheuse au SAGES, participe activement).
Ce sont donc les femmes qui seront à l’honneur dans cette émission Histoire de Savoir version sciences humaines. Emission parsemée de pauses musicales libre de droit, dont voici la playlist, par ordre d’apparition :
DISRUPT – Roots Matrix (Jahtari)
DIKITAL – Rain (compilation Amour et Psyché – Aventuel)
LOST SOUL REFUGE – Broken (Dusted Wax Kingdom)
CENTZ – Keg Baseball (Dusted Wax Kingdom)
Vous pourrez retrouver le podcast de cette émission sur le site de l’ULB : www.ulb.ac.be
Bonne écoute !
Posté le 27 septembre 2011 à 15 h 21 min
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Étiquettes : histoire de savoir
| Sciences exactes – « Musique baroque : quel était le vrai son ? » |
| Il est tentant de penser que jouer de la musique baroque sur des instruments d’époque nous donne le son originel. Ou que pour retrouver ces sonorités de la musique baroque, il suffit de prendre des instruments anciens.
Ce n’est pas si simple ! Notre invité a retrouvé une partition d’Henri Madin, qui a été composée et jouée à la Chapelle Royale du château de Versailles pour la messe quotidienne de Louis XV.
– Il a fallu la reconstituer (le continuo n’était pas écrit complètement!), donc écrire les notes manquantes,
– déterminer le tempérament (différent de celui d’aujourd’hui) dans lequel cette œuvre était jouée,
– l’instrumentarium utilisé,
– les caractéristiques techniques des instruments anciens,
– les techniques de jeu,
– les styles d’interprétation…
Bref, jouer une œuvre ancienne, c’est presque la re-composer!
Mais une question se pose d’abord : faut-il nécessairement « retourner à l’original » ? On peut, sans y être obligé : n’est-ce pas le propre des artistes que de s’approprier les créations de leurs prédécesseurs et de les redonner à leur sauce ?
Rediffusion ce mercredi 28 septembre à 09h00.
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| Fabian Balthazart, doctorant en musicologie (ULB et Conservatoire de Mons) |
Posté le 26 septembre 2011 à 15 h 16 min
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Étiquettes : Europolis · histoire de savoir
Europolis s’intéresse aux spiritualités japonaises, aux Hérésies et au personnage de Jésus grâce à Baudouin Decharneux, philsosophe, historien des religions, chercheur FNRS, professeur à l’ULB et ancien directeur du CIERL, le centre interdisciplinaire d’étude des religions et de la laïcité, qui organise plusieurs colloques sur ces thèmes.
Rediffusion ce mardi 27 septembre à 09h00.
Posté le 22 septembre 2011 à 8 h 05 min
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Étiquettes : histoire de savoir
De 2006 à 2010, Isabelle Dierckx, ancienne d’Elicit, est partie à la recherche de ses racines flamandes, de l’autre côté de la frontière linguistique. Le résultat est un docu-poème, pour reprendre son expression, magnifique, né d’un questionnement à la fois évident et terriblement profond: si elle s’appelle Dierckx, nom flamand par excellence, comment se fait-il que ses ancêtres aient un jour décidé de changer de langue? Une très belle balade à travers l’histoire de la Belgique, mais également à travers son histoire intérieure. A montrer absolument à tous ceux qui se sont un jour demandé pourquoi ils avaient un tel blocage vis-à-vis de l’apprentissage du néerlandais. « Ca rime et ça rame comme tartine et boterham » sera montré le 1er octobre à 15h au festival Elles tournent-Dames draaien au Botanique.
En rediffusion ce vendredi 23 septembre à 09h00.
Posté le 21 septembre 2011 à 10 h 07 min
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Étiquettes : histoire de savoir
Martin Vachiery vient de finir ses études de journalisme à l’ULB. Comme mémoire, il a choisi le hip hop à Bruxelles, sous le titre accrocheur de « Yo? Non, peut-être ! »
« Yo ? Non, peut-être ! » est un documentaire de 26 minutes qui met en lumière le mouvement Hip-Hop bruxellois et plus particulièrement sa scène musicale.
L’avant-première officielle se déroulela le mercredi 28 septembre 2011 à 19h30 au Centre culturel Jacques Franck.
En rediffusion ce jeudi 22 septembre à 09h00
